j"avais alors 25ans aussi !!!
Petite ville de province dans laquelle je travaillais mais je vivais à 50km de là.
J'avais d'abord téléphoné pour savoir s'il était possible d'essayer en étant un homme.
Sur le 4 boutiques de lingerie de la ville, 3 m'ont dit qu'il n'y avait pas de problème, la dernière m'a simplement dit que ce n'était pas possible chez elle.
J'ai donc retenue une boutique sur une petite place très commercante par ailleurs.
Comme demandé au téléphone je suis passé vers 17h30.
Je voulais acheter un ensemble soutien-gorge, culotte et porte-jartelle.
Je portais pour l'occasion une culotte en satin avec de la dentelle sur les côtés et sur les contours ; mais pas transparente.
J'entre donc, j'indique que j'avais téléphoné la veille pour pouvoir essayer et acheter pour moi.
La patronne, femme d'environ 45 ans, qui tenait seule sa boutique, me dit "oui bien sûr, que désirez vous ?"
J'exprime mon choix et la couleur souhaitée.
Elle me montre un modèle de la marque Alinéa, très beaux avec de belle broderie.
Elle me demande si je sais à peu près ma taille : pour le bas pas de soucis mais pour le haut aucune idée.
Elle me fait passer en cabine, me demande de quitter mes vêtements du haut pour prendre mes mensurations : conclusion du 95, pour le bonnet il faudra essayer.
Elle me confie l'ensemble retenu et me dit que je peux tout essayer en gardant mes dessous sur moi.
Ce que je fait.
Elle vient voir si tout va bien, ajuste le soutien-gorge et me dit que ça lui semble très bien.
Je confirme et lui demande si je peux garder le soutien-gorge sur moi : pas de problème.
Je remets mes vêtements (on est en Novembre), sors la cabine et vais payer mes achats.
A ce moment elle m'avoue que je ne suis pas une exception car elle a déjà quelques client homme qui achètent et essayent pour eux. Elle me dit comprendre notre attirance car les dessous masculins ne sont pas très beaux.
On se dit au revoir comme si j'étais un "habitué". Je suis resté environ 45 minutes, j'étais très à l'aise grâce à elle.
Environs 10 jours après je retourne la voi car la culotte avait une couture qui a laché : elle me la change par la même en me disant que parfois les coutures sont trop justes. Et on papotte de tout et rien.
Au printemps suivant, je passais dans le quartier et elle prenait un café en terrasse avec une autre femme, je passais devant elle en disant bonjour, elle me répond et me demande si j'ai le temps de prendre un café. Bien sûr j'ai le temps : son amie tiens une boutique de vêtement de sport dans la ville.
On discute comme de vielles connaissances.
Quelques temps après, je décide de m'acheter un body : je viens donc dans cette boutique pour pouvoir essayer. Je trouve un beau modèle de chez PASSIONATA ; je rentre en cabine et à peine je commence à me dévétir que j'entends une autre personne entrer dans la boutique ;une femme qui souhaite acheter un soutien gorge. Je suis un peu paniqué dans ma cabine et n'ose continuer à me dévétir. La patronne s'occupe de sa cliente pour le choix du soutien gorge et lui indique la 2ème cabine d'essayage qui est dans le coin opposé de la boutique.
Elle vient me voir : elle est étonnée de me voir encore habillé et me dit d'essayer, il n'y a pas de soucis, elle viendra voir si ça va et me dira quand je pourrai sortir.
Ce qu'elle fait 5 minutes après, elle m'ajuste les bretelles du body et me dit qu'il me va bien. C'est vrai que je suis très bien avec.
Elle me demande si je veux autre chose : mais vu le prix,ce sera tout...
Elle retourne vers sa cliente lui parle et j'en conclut que l'essayage est fini pour elle aussi.
Toujours dans la cabine mais habillé, j'attends. La cliente paye son achat, j'entends la porte s'ouvrir et se fermer mais une autre personne est rentrée : ce doit être une connaissance de la patronne, car la conversation dure 2 minutes et elles se disent "à demain".
La patronne vient me chercher ; je paye et on discute un moment. Elle me dit que c'est son mari qui lui a aidé à acheter la boutique; ses enfants sont étudiants à Lyon, elle me dit que lorsque je passe par là de venir lui dire bonjour.
Dans les mois qui ont suivi, je suis passé régulièrement la voir, on prenait le café et elle m'appris qu'elle divorçait car son mari était aller voir ailleurs et une plus jeune... Qu'elle ne pourrait sans doute pas garder la boutique. Ce qui est hélas arrivé. Mais pendant presque 2 ans j'ai vécu quelque chose de très sympa et sans arrière pensée.
Depuis je n'ai jamais osé refaire des essayages en boutique !
Petite ville de province dans laquelle je travaillais mais je vivais à 50km de là.
J'avais d'abord téléphoné pour savoir s'il était possible d'essayer en étant un homme.
Sur le 4 boutiques de lingerie de la ville, 3 m'ont dit qu'il n'y avait pas de problème, la dernière m'a simplement dit que ce n'était pas possible chez elle.
J'ai donc retenue une boutique sur une petite place très commercante par ailleurs.
Comme demandé au téléphone je suis passé vers 17h30.
Je voulais acheter un ensemble soutien-gorge, culotte et porte-jartelle.
Je portais pour l'occasion une culotte en satin avec de la dentelle sur les côtés et sur les contours ; mais pas transparente.
J'entre donc, j'indique que j'avais téléphoné la veille pour pouvoir essayer et acheter pour moi.
La patronne, femme d'environ 45 ans, qui tenait seule sa boutique, me dit "oui bien sûr, que désirez vous ?"
J'exprime mon choix et la couleur souhaitée.
Elle me montre un modèle de la marque Alinéa, très beaux avec de belle broderie.
Elle me demande si je sais à peu près ma taille : pour le bas pas de soucis mais pour le haut aucune idée.
Elle me fait passer en cabine, me demande de quitter mes vêtements du haut pour prendre mes mensurations : conclusion du 95, pour le bonnet il faudra essayer.
Elle me confie l'ensemble retenu et me dit que je peux tout essayer en gardant mes dessous sur moi.
Ce que je fait.
Elle vient voir si tout va bien, ajuste le soutien-gorge et me dit que ça lui semble très bien.
Je confirme et lui demande si je peux garder le soutien-gorge sur moi : pas de problème.
Je remets mes vêtements (on est en Novembre), sors la cabine et vais payer mes achats.
A ce moment elle m'avoue que je ne suis pas une exception car elle a déjà quelques client homme qui achètent et essayent pour eux. Elle me dit comprendre notre attirance car les dessous masculins ne sont pas très beaux.
On se dit au revoir comme si j'étais un "habitué". Je suis resté environ 45 minutes, j'étais très à l'aise grâce à elle.
Environs 10 jours après je retourne la voi car la culotte avait une couture qui a laché : elle me la change par la même en me disant que parfois les coutures sont trop justes. Et on papotte de tout et rien.
Au printemps suivant, je passais dans le quartier et elle prenait un café en terrasse avec une autre femme, je passais devant elle en disant bonjour, elle me répond et me demande si j'ai le temps de prendre un café. Bien sûr j'ai le temps : son amie tiens une boutique de vêtement de sport dans la ville.
On discute comme de vielles connaissances.
Quelques temps après, je décide de m'acheter un body : je viens donc dans cette boutique pour pouvoir essayer. Je trouve un beau modèle de chez PASSIONATA ; je rentre en cabine et à peine je commence à me dévétir que j'entends une autre personne entrer dans la boutique ;une femme qui souhaite acheter un soutien gorge. Je suis un peu paniqué dans ma cabine et n'ose continuer à me dévétir. La patronne s'occupe de sa cliente pour le choix du soutien gorge et lui indique la 2ème cabine d'essayage qui est dans le coin opposé de la boutique.
Elle vient me voir : elle est étonnée de me voir encore habillé et me dit d'essayer, il n'y a pas de soucis, elle viendra voir si ça va et me dira quand je pourrai sortir.
Ce qu'elle fait 5 minutes après, elle m'ajuste les bretelles du body et me dit qu'il me va bien. C'est vrai que je suis très bien avec.
Elle me demande si je veux autre chose : mais vu le prix,ce sera tout...
Elle retourne vers sa cliente lui parle et j'en conclut que l'essayage est fini pour elle aussi.
Toujours dans la cabine mais habillé, j'attends. La cliente paye son achat, j'entends la porte s'ouvrir et se fermer mais une autre personne est rentrée : ce doit être une connaissance de la patronne, car la conversation dure 2 minutes et elles se disent "à demain".
La patronne vient me chercher ; je paye et on discute un moment. Elle me dit que c'est son mari qui lui a aidé à acheter la boutique; ses enfants sont étudiants à Lyon, elle me dit que lorsque je passe par là de venir lui dire bonjour.
Dans les mois qui ont suivi, je suis passé régulièrement la voir, on prenait le café et elle m'appris qu'elle divorçait car son mari était aller voir ailleurs et une plus jeune... Qu'elle ne pourrait sans doute pas garder la boutique. Ce qui est hélas arrivé. Mais pendant presque 2 ans j'ai vécu quelque chose de très sympa et sans arrière pensée.
Depuis je n'ai jamais osé refaire des essayages en boutique !